PIRATES DES CARAIBES la vengeance de salazar

 

Nationalité américain

Synopsis et détails

Les temps sont durs pour le Capitaine Jack, et le destin semble même vouloir s’acharner lorsqu’un redoutable équipage fantôme mené par son vieil ennemi, le terrifiant Capitaine Salazar, s’échappe du Triangle du Diable pour anéantir tous les flibustiers écumant les flots… Sparrow compris ! Le seul espoir de survie du Capitaine Jack est de retrouver le légendaire Trident de Poséidon, qui donne à celui qui le détient tout pouvoir sur les mers et les océans. Mais pour cela, il doit forger une alliance précaire avec Carina Smyth, une astronome aussi belle que brillante, et Henry, un jeune marin de la Royal Navy au caractère bien trempé. À la barre du Dying Gull, un minable petit rafiot, Sparrow va tout entreprendre pour contrer ses revers de fortune, mais aussi sauver sa vie face au plus implacable ennemi qu’il ait jamais eu à affronter…

On rit, on vibre, on est épaté alors qu’un spectre cruel et teigneux parcourt les océans pour tenter de supprimer les écumeurs des mers qu’il déteste.

Avec ce cinquième opus, la recette est largement éprouvée et, pourtant, on se surprend à se laisser embarquer de nouveau par les aventures de Jack Sparrow, et par l’humour qu’il véhicule. Un bon divertissement.

Au final, Pirates des Caraïbes 5 apparaît clairement comme un film de transition. S’il ne révolutionne rien, il permet néanmoins de tourner la page du 4ème film et d’en ouvrir une nouvelle pleine de promesses.

Un vieux projet

Pirates des Caraïbes – La vengeance de Salazar a été annoncé par Disney en janvier 2011, avant même que Pirates des Caraïbes : la Fontaine de Jouvence ne débarque dans les salles obscures au mois de mai de la même année, et ne termine sa carrière avec les recettes astronomiques de 1,043 milliard de dollars au box office mondial.