LE SENS DE LA FÊTE

Genre Comédie
Nationalité Français

 

Max est traiteur depuis trente ans. Des fêtes il en a organisé des centaines, il est même un peu au bout du parcours. Aujourd’hui c’est un sublime mariage dans un château du 17ème siècle, un de plus, celui de Pierre et Héléna. Comme d’habitude, Max a tout coordonné : il a recruté sa brigade de serveurs, de cuisiniers, de plongeurs, il a conseillé un photographe, réservé l’orchestre, arrangé la décoration florale, bref tous les ingrédients sont réunis pour que cette fête soit réussie… Mais la loi des séries va venir bouleverser un planning sur le fil où chaque moment de bonheur et d’émotion risque de se transformer en désastre ou en chaos. Des préparatifs jusqu’à l’aube, nous allons vivre les coulisses de cette soirée à travers le regard de ceux qui travaillent et qui devront compter sur leur unique qualité commune : Le sens de la fête.

«Le Sens de la fête», qui sort ce mercredi, raconte les préparatifs de noces qui tournent à la catastrophe. Hilarant.

Ils ont mis les petits plats dans les grands. Six ans après le carton d’«Intouchables» (19,3 millions de spectateurs en France), trois ans après «Samba» (3,1 millions), le duo Olivier Nakache et Eric Toledano signent l’euphorisant «Sens de la fête». La comédie met en scène Max (Jean-Pierre Bacri), traiteur proche de la retraite, chargé d’orchestrer un mariage dans un sublime château. Mais à quelques heures de la soirée, les catastrophes s’enchaînent…

 

Autour des tables nappées de blanc, Nakache et Toledano ont réuni des acteurs d’univers totalement différents. Il y a des pensionnaires ou ex-pensionnaires de la Comédie-Française (Benjamin Lavernhe, Judith Chemla), des acteurs de films populaires (Jean-Paul Rouve, Gilles Lellouche, William Lebghil…) ou d’auteur (Vincent Macaigne, Kévin Azaïs, Suzanne Clément), un humoriste (Alban Ivanov)… Et au milieu de ce joyeux attelage, Jean-Pierre Bacri, dont les comédies se sont toujours situées au carrefour du cinéma populaire et du cinéma intello.

Après le triomphe d’« Intouchables », les deux réalisateurs sont plus que jamais les maîtres de la comédie douce-amère à la française. Et ils le prouvent une nouvelle fois avec ce petit bijou de film choral, galerie de portraits féroce et tellement tendre dans l’univers des organisateurs de mariages.