C’est tout pour moi

Depuis toute petite, Lila veut devenir danseuse, n’en déplaise à son père.
Elle débarque à Paris pour réaliser son rêve…
Mais de galères en désillusions, elle découvre la réalité d’un monde qui n’est pas prêt à lui ouvrir ses portes.
A force d’y croire, Lila se lance dans une carrière d’humoriste.
Elle n’a plus qu’une idée en tête : voir son nom en haut de l’affiche, et surtout retrouver la fierté de son père.

Drôle, intelligent et touchant…

Un film qui suit le schéma classique du récit d’apprentissage et qui, en mêlant à la bonne dose le rire et l’émotion, apparaît comme une habile autopromotion de sa réalisatrice-interprète qui, se voyant depuis longtemps en haut de l’affiche, s’y met sans complexe.

Plus qu’une comédie, C’est tout pour moi est aussi un film piquant qui n’hésite pas à égratigner l’univers sexiste du stand-up et en particulier celle d’une célèbre scène ouverte accueillant de jeunes talents (le Jamel Comedy Club, jamais cité explicitement).